Notre passage dans la petite ville d’Ica s’est essentiellement résumé à la visite d’un musée archéologique très intéressant, mais où les photos étaient interdites (donc, ne vous inquiétez pas, pas de cours d’histoire dans cet article), et à une escapade à l’oasis de Huacachina…
Selon la légende, le lagon est né lorsqu’une jeune princesse qui prenait son bain a été surprise par un chasseur. Elle a fuit en laissant l’eau telle qu’elle était et on dit que les traces de son manteau ont donné leurs arrêtes aux dunes. Selon une rumeur très sérieuse, elle y vivrait encore sous la forme d’une sirène.
Faute d’avoir pu prendre le thé avec la belle princesse, nous avons opté pour l’activité que pratiquent tous les touristes du coin, à savoir, une virée en buggy dans les immenses dunes (hautes de plusieurs centaines de mètres !). Le vroum vroum dans le sable blanc, Elvi nous l’a assez répété, c’est GÉNIAL, GÉNIAL, GÉNIAL… Voire SUPER ! Quel bonne partie de rigolade et d’adrénaline ! De plus, Kim se la pétait grave à surfer en sand-boarding dans les dunes (environ 2km/h). La soirée s’est terminée tranquillement avec 6 tournées de pisco sour… Et oui, faut ce qu’il faut !
Selon la légende, le lagon est né lorsqu’une jeune princesse qui prenait son bain a été surprise par un chasseur. Elle a fuit en laissant l’eau telle qu’elle était et on dit que les traces de son manteau ont donné leurs arrêtes aux dunes. Selon une rumeur très sérieuse, elle y vivrait encore sous la forme d’une sirène.
Faute d’avoir pu prendre le thé avec la belle princesse, nous avons opté pour l’activité que pratiquent tous les touristes du coin, à savoir, une virée en buggy dans les immenses dunes (hautes de plusieurs centaines de mètres !). Le vroum vroum dans le sable blanc, Elvi nous l’a assez répété, c’est GÉNIAL, GÉNIAL, GÉNIAL… Voire SUPER ! Quel bonne partie de rigolade et d’adrénaline ! De plus, Kim se la pétait grave à surfer en sand-boarding dans les dunes (environ 2km/h). La soirée s’est terminée tranquillement avec 6 tournées de pisco sour… Et oui, faut ce qu’il faut !